Samedi soir, en forêt de Bruadan, j’ai la chance de tirer une petite bête rousse de 26 kg à la tombée de la nuit. Tir à 16 m au défaut de l’épaule, le sanglier part avec sa bande et je le visualise dans le bois avec mon encoche allumée. Sur une brève recherche je retrouve la flèche à 20 m, engluée de sang rouge. Je sais qu’il doit être mort. Je décide de faire la recherche avec ma chienne, airedale de 2 ans ½ , que j’ai bien entrainée. En la prenant à la corde, elle sait ce que j’attends d’elle. Et à partir de l’anschuss, c’est en moins d’une minute qu’elle retrouve mon petit sanglier à 5O m. Cette complicité et se complément de chasse me comble de bonheur……
Jean-Louis D.
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