Ce samedi nous nous retrouvons à Carcelles où François. nous reçoit pour une nouvelle chasse aux lièvres. Ils ne sont pas nombreux. A l'avant dernière traque je n'en ai toujours pas vu courir.
Enfin un jeune levrault se lève quelques mètres derrière moi. Je prends le temps de le laisser un peu filer, le viser et tirer. Il accuse le coup, les voisins le voient rentrer dans le friche tout près, bien blessé.
On finit la dernière traque avant de le rechercher. Pour cela je m'adjoins les services de mon chien qui n'en demandait pas tant après une matinée dans la voiture. En cinq minutes, avec l'aide des autres amis chasseurs, le capucin est dans la poche. Ce fut mon unique flèche de la matinée, la série continue pour mon plus grand bonheur
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