Nous voulions la foret visiter et du soir éviter l’étouffante chaleur,
Frank et moi décidions de bon matin se lever de bonne heure.
La lune étant absente, dans la nuit noire nous nous installâmes
Chacun sur son tree stand, aux aguets, prêt a prélever, sans vague a l’âme.
Les oiseaux commençaient à chanter et petit à petit, le jour chassait la nuit
C’est alors que deux laies attardées, vermillaient accompagnées de leurs petits.
Entouré de part et d’autre par la compagnie, je choisis de prélever une bête rousse,
Délicatement armait mon compound, visait, prêt a décocher en activant mon pouce
Mais la laie, dans mon dos, me vit et émit un sourd et bref grognement
Qui pour effet déclenchait une partie de la compagnie une fuite en courant.
L’animal choisi pris la stratégie d’être immobile et de rester dans les fougères
Ce choix, malencontreux, devant mon arc armé, lui couta la vie chère.
La décoche lui enfila une flèche éclairée dans sa jeune écervelée tète
Et le fit sortir en faisant de nombreux ronds désordonnés de sa cachette.
Apres avoir fait une pelote de ronds il disparut des épines noir non loin de là
Pour se reposer lourdement et passer calmement mais surement au-delà.
Ne sachant pas exactement ou l’animal agonisant fut parti se nicher
Nous allâmes avec précipitations mon chien chercher.
Très rapidement, il nous retrouva la bête rousse
Qui était tout au plus a 30m de l’anschluss.
Cette matinée de chasse forte agréable
Se termina par un petit déjeuner convivial.
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